La Ferme Mongeat

Premiers dépicages à la main

Dépicage vergé (villa)

Hangar (montages agricoles)

dépicage au vergé

Premiers dépicages

Dépicage batteuse

Montages agricoles

La paille et le blé

Fanage a la "Coume"

La pèle porc en famille

Vieille batteuse emplacement villa

Vielle moissonneuse au Buala

La fenaison

La pèle porc

Batteuse

Moissonneuse

Origines

Les origines de  la ferme familiale "MONGEAT" remontent  jusqu'en l'an 1640 au village:*ASPI  (à l'origine) *ASPIN EZ ANGLES  ( jusqu'en 1960) *Actuellement ASPIN EN LAVEDAN

Ce n'est qu'à  partir de la moitié du siècle dernier que nous avons recueilli quelques photos typiques sur les  façons de vivre et surtout sur l'évolution de la ferme entièrement décentralisée à l'extérieur du village.
L'emplacement  initial de la ferme est  maintenant réservé uniquement au tourisme vert ( gîtes, tables et  chambres d'hôtes, ferme auberge).   Des visites sont toutefois organisées pour  voir les nouveaux batiments et les élevages situés en dehors de l'aglomération.

Images du passé

Camp St.Henri1931.Patronage St.Just de Narbonne.

Lumière et Vie.1946 - 1973

Colonie.Anciens batiments 39-45.

Eglise du village en 1950

Aspin en 1950 vu du Buala

Camp St.Henri.1931

Lumière et Vie.1946

Mutuelle en 1947

Eglise en 1950

Village  en 1950

Drin de Bigourdan

Que bouléréi açi  da u omadgé enta era lengua  qui éra parlada   en nousta Bigorra, lengàdye quiéi estat loungtens discréditat proumou qu'éna escola qu'ens y  punisséban qu'an  parlaban et patoés abans et Frances. Esta lengua admirabla que proudus u plasé dé soulament pronounça ets mouts quièran ardouns, plasens, souben incapablés de ous traduisé, à marida ets ritmés, quéi é qué démourara tousten éra lengua  qui à yumpat era mia  youénessa e dé qui éi tousten aoutant dé plasé à pratica.Ets mouts  séguin loua lengua qu'an uo leit e ua destinatiou més que seran tousten à era loua plaça àt endret couma àt dembés...

Un peu de Bigourdan

Je voudrais ici rendre hommage à   la langue dont  on usait dans notre Bigorre, langage qui pourtant a été longtemps discrédité car à l’école on nous  punissait parce que nous  le parlions avant le Français.Ce langage  admirable qui procure une  joie  à   seulement en prononcer les mots roulants,  pittoresques,  souvent intraduisibles, à  en épouser les rythmes, est et restera toujours la langue qui a bercé mon enfance et que j’ai toujours autant de plaisir à  pratiquer.Les mots suivant leur langue ont une loi et une destination mais ils  seront toujours à leur place tantôt à l'endroit tantôt à  l'envers...                                                                                                                                                                                                      

Léon   SARNIGUET